Puissance féminine : Comment se connecter à sa puissance féminine pour guérir ?

Pour guérir du vaginisme, il faudra libérer votre puissance féminine.

Aujourd’hui et plus que jamais la femme représente une menace dans la société. Au mieux sa puissance féminine sera affaiblie, au mieux la société et l’homme auront l’ascendant sur elle. 

“Femme, tais-toi et fais-toi petite! “

Durant de lointaines époques, celle-ci était vénérée, respectée, valorisée mais de nos jours…c’est tout le contraire…elle est oppresséebafouéerejetéemépriséeviolentée

La femme depuis toujours, a suscité curiosité, admiration et bien souvent crainte. Elle a ce “quelque chose” en elle qui effraie et qui justifierait la volonté de l’homme de la soumettre.  

Ironique me dirait-vous? À l’heure de l’émancipation de la femme et de la “femme libérée”…

Au 21ème siècle, les “valeurs féminines” si on peut les appeler ainsi telles que l’intuition, la sensibilité, la douceur ou la capacité à pouvoir donner et se donner de l’amour ont été amoindries de manière considérable pour laisser place à des valeurs plus masculines telles que la force, l’autorité ou la performance. Il est triste de constater que nous femmes, avons été conditionnées pour faire mieux que les hommes ou au pire des cas comme eux.  Mais le problème c’est que…nous ne sommes pas des hommes justement et chercher à leur ressembler ce serait aller à l’encontre de notre nature propre.

Vous ne le savez peut-être pas mais nous avons deux énergies en chacun d’entre nous : une énergie féminine et une énergie masculine. Ces énergies ne cohabitent pas en nous de manière particulièrement équilibré mais le danger serait de  faire primer l’une au détriment de l’autre. Tous les hommes insensibles, qui ont tendance à refouler leurs émotions le sont parce qu’ils ne se sont pas connectés à leur énergie féminine. Comme vous le savez les hommes ne sont pas éduqués dans la dynamique de devenir des personnes émotives mais des personnes raisonnables. De telle sorte que lorsqu’un homme pleure, on aura tendance à lui dire “Arrête de pleurer comme une femme”. Si les hommes se connectaient davantage à leur énergie féminine, ils seraient beaucoup plus à l’écoute, beaucoup moins violents et plus emphatiques et le monde irait beaucoup mieux.

Il n’est pas question de faire primer l’une sur l’autre mais il faut avouer qu’aujourd’hui, l’énergie féminine a presque été dissolue. Raison pour laquelle il existe un bon nombre de femmes qui sont “déconnectées” d’elles-mêmes, de ce qu’elles sont réellement. Et si nous ne sommes pas connectées à nous-même nous ne pourrons pas être épanouies et c’est de là que des troubles tel que le vaginisme surviennent. C’est pour ça qu’il est très important de se connecter à son féminin sacré.

C’est quoi le féminin sacré?

Le féminin sacré c’est la capacité qu’à la femme de se reconnecter à son essence fémininesa vraie nature. La capacité à se reconnecter à son énergie qui se caractérise par l’intuition, la sensibilité, la sensualité,  la douceur, l’amour, la force créatrice et la capacité de soigner et de prendre soin des autres. Tant qu’elle n’est pas connecté à son féminin sacré, la femme ne pourra pas s’épanouir dans sa vie, sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Si il y a un point commun entre toutes les femmes qui souffrent de vaginisme c’est que celles-ci ont été déconnectées de leur féminin sacré. 

Le féminin sacré est en chacun d’entre nous (hommes comme femmes) et le laisser enfouir au fond de nous-mêmes pourra créer des blocages importants comme tel est le cas du vaginisme chez la femme. Lorsque la femme sera dans son féminin sacré, celui-ci sera libéré et par conséquent son vagin va se libérer aussi. 

Il n’y pas de marche à suivre particulière pour se connecter à son féminin sacré mais il y a quand même des petites habitudes à adopter pour y parvenir. Tout d’abord, pour se connecter à son féminin sacré il faudra déjà commencer par avoir plein accès à ses émotions, à sa sensibilité.

1. Accueillez pleinement vos émotions

Bloquer l’accès à ses émotions, c’est bloquer l’accès à soi-même. Le jour où j’ai compris ça, j’ai vu la vie sous un autre angle et j’ai commencé à réagir différemment. Pour vous connecter à votre féminin sacré vous aurez besoin de vous reconnaître à la part de sensibilité, d’émotivité qui sommeille en chacune de vous. 
Pour vous raconter un peu mon histoire, durant  toute mon adolescence j’avais nié cette part de moi et c’était assez radical. J’étais rentrée dans une phase durant laquelle je ne voulais plus rien ressentir à part de la colère. J’en voulais à tout le monde et surtout à moi-même. J’étais comme détachée de moi-même. Il y avait un énorme fossé entre celle que j’étais, aigrie, renfermée et celle que je voulais être sensible et ouverte au monde. 
J’avais refoulé toutes mes émotions négatives jusqu’à l’année dernière. Sans exagération, je n’ai jamais autant pleuré de toute ma vie. Pour la première fois je m’étais autorisée à abandonner cette carapace que j’avais et qui me protégeais. Dans le même temps, j’ai pu me réconcilier avec la petite fille blessée que j’étais (voir article sur l’enfant intérieur). Aujourd’hui j’accepte mieux cette part de moi-même. Lorsque je me sens mal, je m’autorise à pleurer un bon coup et ensuite je cherche une solution à mes problèmes. Accueillir mes émotions m’a permis de mieux me connaître, savoir ce que j’aime et savoir ce que je n’aime pas. Savoir ce qui me met à l’aise et ce qui ne me met pas à l’aise.
 

Tant que vous n’accepterez pas cette part de sensibilité qui sommeille en vous, vous ne pourrez pas vous épanouir. Laissez vos émotions se manifester et acceptez-les telles qu’elles viennent. Je sais que la société d’aujourd’hui ne laisse pas place à la sensibilité et l’émotivité mais les nier serait tout simplement nier votre humanité.

2. Prenez conscience de vos envies, de vos aspirations indépendamment de ce que les autres attendent de vous

Si vous vivez votre vie de femme en fonction de ce que les personnes extérieures de vous attendent de vous, vous ne pourrez jamais vous connecter à votre féminin sacré. 

Petite anecdote : Mon père est professeur de mathématiques au lycée. Lorsque j’étais en seconde j’avais le choix entre la filière S, la filière ES la filière L et là filière STMG. Mon père voulait à tout prix que j’aille soit en S soit en ES. Cependant, je savais au plus profond de moi-même que mon choix décisif se porterait vers la filière L car j’ai toujours été une littéraire dans l’âme et ce depuis toute petite.

J’avais alors deux options : soit j’allais en S ou en ES pour faire plaisir à mon père au risque de préparer mon bac dans une filière que je ne voulais pas, soit ” je m’opposais “ à ce dernier pour aller dans une filière que j’aime. Je vous laisse deviner le choix que j’ai fait…

 

J’ai été acceptée dans la filière L et mon année de première et celle de terminale étaient des années incroyables. Je n’ai pas agi selon les envies de mon père mais selon mes envies profondes à moi. Souvent les parents pensent savoir ce qui est mieux pour nous mais la seule personne qui sait ce qui est le mieux pour soi, c’est nous mêmes. J’ai donné cette anecdote à titre d’exemple pour vous suggérer de faire des choix, prendre des décisions qui sont en connivence avec qui vous êtes vraiment.  Lorsqu’on commence à poursuivre son existence en fonction de notre nature profonde et non plus en fonction de ce que les autres attendent ou veulent de nous, tout devient un peu plus simple.

3. Prenez conscience que vous n’avez pas besoin de la validation d’autrui pour vous aimer et vous accepter

Imaginez-vous : Aucune personne sur cette terre ne vous aime et vous valide. 

Est-ce que vous allez mourir? 

Est-ce que ça veut dire que vous n’existez plus? 

Non, parce qu’il vous restera toujours vous-même

Lorsque la femme n’est pas encore dans son féminin sacré, elle pose parfois des actes ou prend des décisions qui vont à l’encontre de sa nature profonde pour être aimée, acceptée par les autres. Qui parmi nous ne s’est jamais retrouvée dans une relation (qu’elle soit amicale, amoureuse) à faire des choses qu’elle ne croyait pas faire, qu’elle ne voulait pas faire juste pour pouvoir être aimée par l’autre personne?

Je suppose déjà que la majorité d’entre nous peut répondre par la positive.

La femme qui souffre de vaginisme c’est la femme qui n’a pas encore fait vraiment connaissance avec son corps, elle-même et qui ne s’est pas encore aimée vraiment. Et lorsqu’on accède à l’amour de soi, le vrai, celui-qui n’a pas besoin d’être conditionné par les autres, alors on accède à son féminin sacré et on peut  commencer à guérir.

Pour accéder à son féminin sacré il faudra nécessairement à un moment donné avoir pardonné aux hommes qui vous ont blessé.

 

Je ne pense pas que les hommes sont blessants par envie de blesser. Ils le sont parce qu’ils refoulent au plus profond d’eux-même l’énergie féminine. Cette énergie qui permet d’être à l’écoute, de ressentir pleinement ses émotions, d’être empathiques et intuitifs. Et tant qu’ils ne se connecteront pas ne serait-ce qu’un peu à leur énergie féminine, il y aura toujours de la discorde entre ces derniers et les femmes. 

Nous femmes, sommes de grandes émotives alors que les hommes eux, sont beaucoup plus rationnels. Mais ce n’est pas leur faute : ils ont été éduqués de cette manière. 

 

Je sais que la plupart d’entre vous, pour ne pas dire la majorité d’entre vous ont été déjà été blessées par un homme au moins une fois et j’en fait partie. Mais il faut avoir la capacité de pardonner et d’aller de l’avant. J’avais déjà parlé auparavant de comment agir lorsqu’on a le cœur brisé dans mon article sur la guérison du cœur. 

Les énergies qui sommeillent en nous ne doivent pas être concurrentes mais complémentaires. Elles doivent s’allier pour qu’on puisse réellement s’aligner avec qui on est vraiment. Elles ne sont pas présentes en nous de façon équilibrée, certes, mais il est très dangereux d’étouffer notre énergie féminine car c’est celle parmi les deux qui nous permet d’avoir accès à nous-mêmes, à notre “nous” intérieur.

 

Pour une guérison définitive du vaginisme, la prise en charge doit être holistique. En effet, le psychologique fonctionne en corrélation avec le physique. Il est donc primordial de travailler ces deux aspects en même temps.


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J’espère que cet article t’aura apporté des conseils concrets afin de t’aider au mieux dans ta guérison du vaginisme.

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