Accepter d’être humain et par conséquent imparfait, accepter que l’erreur fait partie de nous, accepter que nous sommes tous des êtres aux personnalités, aux éducations et aux codes sociaux différents, accepter que nous n’avons pas tous la même vision ou définition de la vie, accepter que nous puissions donc avoir des avis divergents ou même des croyances à l’opposé de l’autre… Tant et toujours d’acceptation.
C’est une des notions les plus importantes mais c’est également l’une des plus complexes à mettre en œuvre au quotidien et pour cause, l’acceptation se trouve souvent l’herbe coupée sous le pied à cause de ce qu’on appelle l’égo.
Le meilleur moyen de pratiquer l’acceptation est de lâcher prise, de ne pas toujours être dans le contrôle. On peut imaginer ce qu’on souhaite voir se produire mais au lieu d’idéaliser une insatisfaction, acceptons que tout ne peut être toujours comme prévu…
Par exemple, lorsqu’on organise son propre mariage, nous avons souvent des attentes bien précises et des souhaits que l’on aimerait voir se réaliser pour autant, il faut accepter qu’on ne puisse pas tout contrôler et donc tout prévoir au millimètre près comme le comportement de nos invités ou bien la météo… En acceptant cela, on lâche prise et on se concentre sur ce qui compte le plus, épouser la personne dont on est amoureuse !
Pour commencer un processus d’acceptation, il faut donc commencer par conscientiser le fait que nous sommes dans une résistance mais le fait d’accepter, d’admettre que nous ne pouvons pas tout accepter, du moins pour le moment, c’est d’accord aussi. Ensuite, au lieu d’accuser l’autre, on peut tout simplement se questionner pour savoir à quel moment notre égo s’est-il réveillé, à quel moment avons-nous accusé l’autre et ce que cette accusation nous a-t-elle procuré ? La notion de responsabilité devra alors se mettre en place. Ce sont souvent nos attentes qui font qu’il y a des conséquences et pas toujours celles escomptées. Une fois ces deux premières étapes réalisées, il faudra mettre en place la réconciliation. Ce n’est pas toujours évident parce qu’il est généralement demandé de se mettre à la place de l’autre et d’imaginer qu’elle aura vécu à peu près la même peur au même moment comme un effet miroir et qu’elle a pu ainsi, t’accuser de la même chose… Mais c’est pourtant une étape importante avant le pardon à soi même, qui est l’étape la plus importante et parfois même la plus compliquée. Pour ce faire, il suffit de faire une introspection de ce qui vient de se produire et prendre conscience que notre accusation a été portée par une peur à cause d’une blessure non réglée . Enfin, vient le moment de nous libérer de cette accusation en vérifiant d’une part comment nous nous sentons à l’idée de parler à l’autre des étapes précédentes et s’il y a hésitation, il vaut mieux travailler encore un peu sur ces dernières.
En ce qui concerne la libération des émotions et l’acceptation de ces dernières, on conseille souvent d’écrire une lettre et de la donner, ensuite, à la personne concernée ou de la lire tout simplement. On peut également la garder précieusement et ne jamais le faire ou alors passer à l’action uniquement lorsqu’on en sentira le besoin mais on peut tout aussi bien décider de la brûler… Cela peut s’avérer très utile lorsqu’il n’est pas ou plus possible de parler avec la personne elle-même. Cela peut être d’une grande aide également lorsqu’il nous est difficile de nous exprimer correctement surtout face à une situation pareille.
Une fois libéré il nous sera alors plus facile de pratiquer la gratitude pour le monde qui nous entoure et la personne que nous sommes.
Accepter son vaginisme c’est le surmonter…
Accepter que même si l’on dispose de nos ressources qui nous sont propres pour répondre à nos besoins personnels, nous avons parfois besoin d’aide extérieurs pour nous aider à voir les ressources dont nous disposons réellement.
C’est pour cela que j’ai créé “Je guéris du vaginisme” la méthode pour que les femmes qui souffrent du vaginisme n’aient pas à subir la souffrance de l’errance médicale. Cette idée m’est venue après la guérison du vaginisme mais après, également, une introspection intérieure. En effet, ma mission de vie n’était pas d’être comptable, toute ma vie, pour de grosses compagnies mais d’accompagner les femmes qui souffrent encore de Vaginisme dans leur processus de guérison.
Cette méthode a aujourd’hui transformé la vie de plusieurs centaines de femmes qui ont accepté de se faire aider et je me sens alignée avec ce projet de vie qui m’anime profondément.
– FAIS LA LISTE DE TOUTES LES PERSONNES QUE TU AS UN JOUR ACCUSÉ
– ECRIS-LEUR UNE LETTRE SUR CE QUE TU AS RESSENTI, CE QUE TU RESSENS ENCORE AUJOURD’HUI ET SUR CE QUE TU AS SUR LE COEUR DE FAÇON PLUS GÉNÉRALE (UNE LETTRE PAR PERSONNE / SITUATION)
– PRENDS UNE DÉCISION QUANT À CETTE LETTRE:
– PARDONNE-TOI ET DONNE-TOI LE DROIT D’ACCEPTER QUE TOUT NE PEUT PAS TOUJOURS ÊTRE PARFAIT OU SOUS CONTRÔLE !
Conclusion :
J’espère que cet article t’aura apporté des conseils concrets afin de t’aider au mieux dans ta guérison du vaginisme.
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