STORY TIME : « J’ai identifié mon vaginisme après un mois de mariage »

Identifier son vaginisme, Story-time : Après sa guérison Salma a accepté de répondre à un questionnaire pour parler de son expérience par rapport à la méthode de guérison qui l’a aidé à guérir
Je suis Salma âgée de 31 ans. J’ai identifié mon vaginisme après un mois de mariage quand je me suis rendue compte que ce n’était pas normal que ma peur du rapport sexuel persiste sur toute cette période.
Pour identifier son vaginisme, il est vivement conseillé de voir un gynécologue au début pour éliminer toute cause physique qui pourrait expliquer pourquoi un rapport ne peut pas se faire. Dans mon cas, j’avais déjà fait auparavant des tests radios et des analyses sanguines avant mon mariage pour m’assurer que j’étais en bonne santé. Du coup, j’étais persuadée que le problème était purement psychologique.
J’ai commencé à chercher sur Google et sur Youtube pour trouver des conseils ou des témoignages de femmes dans la même situation que moi. Par chance, je suis tombée sur une interview avec Mame sur Youtube. Elle a pu décrire parfaitement ce que je ressentais dans cette période (mes peurs, ma façon de voir les choses etc…) J’étais étonnée qu’il s’agissait d’une situation fréquente chez la femme. J’ai découvert en Mame, une personne super gentille, modeste avec un coeur ouvert.
J’avais à peine un mois de mariage et j’avais peur que ça dure. J’avais besoin d’agir dans l’immédiat pour ne pas subir des conséquences graves. Je ne partage mes secrets intimes avec personne de peur qu’on me juge. Inutile de voir un gynécologue car impossible d’accepter d’être examinée. Inutile de voir un sexologue car il me paraissait ridicule de consulter un spécialiste pour me convaincre qu’un rapport sexuel ne fait pas peur. Je me sentais perdue, toute seule.
Je suis trop prise par mon travail. Je me stresse tout le temps. J’ai l’impression d’être absorbée par le temps. Je n’arrive pas à profiter de tout instant présent. Je ne me prenais pas soin de moi car j’avais pas le temps pour le faire. Je ne me voyais pas une femme en tout entier. Avec le programme, j’ai compris que je devais prendre soin de moi, de ma féminité et que ça doit être ma priorité pour pouvoir me relaxer, prendre les choses en main, vivre pleinement ma vie et être efficace dans tout ce que j’entreprends.
Mame, dans ses vidéos sur Youtube, décrit bien mon état et mes émotions. J’étais persuadée que mon problème est purement psychologique et que j’avais besoin de le résoudre en travaillant sur moi-même. De plus, les témoignages des filles m’ont donné une idée sur les résultats qu’on peut avoir en quelques semaines. En tout cas, c’était plus avantageux de tenter cette expérience durant quelques semaines que de m’engager avec un spécialiste dont le traitement nécessitera plusieurs mois avec un résultat improbable sans compter le coût derrière.
Je suis guérie du vaginisme. J’ai appris à écouter et aimer mon corps de femme. J’ai découvert des croyances limitantes qui m’empêchaient de voir les choses comme elles le sont. Le programme m’a donné des outils efficaces pour faire face à n’importe quel autre problème. J’ai découvert le pouvoir du mental et que grâce à la visualisation et les affirmations positives, je peux réaliser des choses extraordinaires.
Je suis guérie ! Je peux accepter une pénétration et je peux permettre à mon mari d’être en moi. Très contente de cette formation qui a pu m’aider énormément sur le plan personnel et dans ma vie de couple. Je ne me sens plus petite fille. Je me sens une femme avec tous ses atouts et j’ai confiance en moi.
J’ai commencé le programme le 18 février et le 12 avril j’étais guérie ( 2 mois) avec une période de coupure de 3 semaines car au mois de mars, j’étais prise par le travail. En réalité, j’ai travaillé 5 semaines sur le programme.
Identifier son vaginisme, Story-time : Je le recommande vivement aux femmes comme moi de commencer le programme dès que le vaginisme est repéré. L’avantage, c’est qu’on est assistée tout le temps par une équipe de coachs et de femmes dans la même situation. Mame l’a déjà dit et je le confirme : « Le déclic se crée durant les réunions de groupes ». Une ambiance qui permetde libérer la parole, l’esprit et le corps.
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